Au XIXe Siècle, les régimes politiques se succèdent, souvent de manière brutale : coups d’État ou révolutions rythment la vie politique, du 18 Brumaire à la Commune de Paris. L’année 1848 est marquée à elle seule par deux mouvements révolutionnaires.
En février, le roi Louis-Philippe est renversé et la deuxième République est instaurée. La révolution politique a eu lieu tandis que demeure et se renforce le mécontentement social. Il sera à l’origine de journées révolutionnaires beaucoup plus violentes : les journées de juin.
Le 21 juin 1848, les Ateliers nationaux, qui apportaient une réponse sociale et républicaine au chômage des Parisiens, sont fermés. La capitale se hérisse de barricades, surtout dans les quartiers populaires du nord et de l’est… S’ensuivent quatre jours de combats acharnés. Les ouvriers sont défaits et la répression est terrible. Aux 3 à 5000 morts des barricades s’ajoutent 1500 fusillés sans jugement et des déportés et emprisonnés.
Les journées de juin, acte de naissance du mouvement ouvrier français selon Marx, sont aussi une révolte républicaine. Le peuple refuse que les grands espoirs apportés par le suffrage universel soient à nouveau confisqués par les élites.
Au XIXe Siècle, les régimes politiques se succèdent, souvent de manière brutale : coups d’État ou révolutions rythment la vie politique, du 18 Brumaire à la Commune de Paris. L’année 1848 est marquée à elle seule par deux mouvements révolutionnaires.
En février, le roi Louis-Philippe est renversé et la deuxième République est instaurée. La révolution politique a eu lieu tandis que demeure et se renforce le mécontentement social. Il sera à l’origine de journées révolutionnaires beaucoup plus violentes : les journées de juin.
Le 21 juin 1848, les Ateliers nationaux, qui apportaient une réponse sociale et républicaine au chômage des Parisiens, sont fermés. La capitale se hérisse de barricades, surtout dans les quartiers populaires du nord et de l’est… S’ensuivent quatre jours de combats acharnés. Les ouvriers sont défaits et la répression est terrible. Aux 3 à 5000 morts des barricades s’ajoutent 1500 fusillés sans jugement et des déportés et emprisonnés.
Les journées de juin, acte de naissance du mouvement ouvrier français selon Marx, sont aussi une révolte républicaine. Le peuple refuse que les grands espoirs apportés par le suffrage universel soient à nouveau confisqués par les élites.
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