La BnF poursuit son cycle de conférences en histoire de l’art avec une quatrième édition consacrée aux paysages. À l’occasion de l’exposition Apocalypse. Hier et demain, cette séance est plus particulièrement consacrée aux artistes contemporains et à leur vision des paysages à l’ère de l’Anthropocène.
Les bouleversements climatiques et technologiques contemporains amènent à repenser les liens entre les humains et les non-humains. Les représentations du paysage se trouvent par conséquent en pleine mutation, interrogeant son concept même. L’Anthropocène définit une nouvelle ère géologique dans laquelle l’Homme est devenu l’acteur central et laisse une empreinte décisive, voire irréversible, sur la planète. Face à cet enjeu majeur, des artistes développent de nouvelles sensibilités et une autre forme d’attention à leur environnement, impliquant bien souvent la transformation de l’expérience visuelle ou corporelle des spectateurs.
La BnF poursuit son cycle de conférences en histoire de l’art avec une quatrième édition consacrée aux paysages. À l’occasion de l’exposition Apocalypse. Hier et demain, cette séance est plus particulièrement consacrée aux artistes contemporains et à leur vision des paysages à l’ère de l’Anthropocène.
Les bouleversements climatiques et technologiques contemporains amènent à repenser les liens entre les humains et les non-humains. Les représentations du paysage se trouvent par conséquent en pleine mutation, interrogeant son concept même. L’Anthropocène définit une nouvelle ère géologique dans laquelle l’Homme est devenu l’acteur central et laisse une empreinte décisive, voire irréversible, sur la planète. Face à cet enjeu majeur, des artistes développent de nouvelles sensibilités et une autre forme d’attention à leur environnement, impliquant bien souvent la transformation de l’expérience visuelle ou corporelle des spectateurs.