Les collections du musée de la BnF

Parmi les œuvres exceptionnelles présentées dans le musée, des pièces rares comme le Grand Camée de France, le trône de Dagobert ou l’échiquier de Charlemagne. S’y trouvent également des manuscrits enluminés ou représentatifs de moments fondateurs de la pensée et de la littérature, des estampes, des photographies, des objets et des costumes.

 

Quelques trésors du musée 

  • Amphore à col. Héraclès combat le triple Géryon

    Amphore à col, Héraclès combat le triple Géryon, vers 530 av. J.-C.

    Attribuée au Peintre des Inscriptions Rhégion (Italie). Trouvée à Vulci (Italie) en 1828-1829. Terre cuite, figures noires, Don de Luynes en 1862
    BnF, département des monnaies, médailles et antiques

    Retrouvée dans une tombe étrusque et datée vers 540-530 avant J.-C., cette amphore colorée est une œuvre majeure du Peintre des Inscriptions – tous les personnages sont nommés – dont l’atelier en Italie du Sud a connu un grand succès en occident.

    L’un des travaux d’Héraclès les moins connus le voit affronter le triple Géryon qui règne sur l’île d’Érythie, aux limites occidentales du monde. Doté de trois corps, mais d’une seule paire d’ailes et d’une paire de jambes, Géryon défend son troupeau de bœufs, objet du litige. La déesse Athéna protège le héros coiffé d’une peau de lion qui a déjà abattu le bouvier et son chien.

     

    Retrouver ce document dans Gallica

    Précédent Suivant
    Fermer
  • Grand camée de France

    Le Grand Camée de France, vers 23 apr. J.-C.

    Rome vers 23 apr. J.-C. Camée en sardonyx à 5 couches ; H. 31 cm, L. 26,5 cm
    BnF, département des Monnaies, médailles et antiques

    Le Grand Camée de France, pièce majeure du Trésor de la Sainte-Chapelle constitué au XIIIe siècle par le roi saint Louis autour des reliques de la Passion du Christ, est le plus grand camée que l’Antiquité nous ait légué. C’est également le plus célèbre de la glyptique (art de la gravure sur pierre fine) romaine.

    Malgré une histoire tumultueuse, ce camée a toujours été hautement estimé et ainsi préservé. Mis en gage en 1343 par Philippe VI auprès du pape Clément VI, restitué par Charles V en 1379 à la Sainte-Chapelle, il est déposé sur ordre de Louis XVI au Cabinet des médailles le 1er mai 1791. Volé en 1804, il est retrouvé à Amsterdam, privé de sa monture, fondue, et restitué au Cabinet des médailles en février 1805.

     

    Retrouver ce document dans Gallica

    Précédent Suivant
    Fermer
  • Trésor de Berthouville

    Trésor de Berthouville, Ier–IIIe s

    Vue d’ensemble du trésor, Italie et Gaule, entre le Ier et le début du IIIe siècle apr. J.-C. Argent, argent doré
    BnF, département des Monnaies, médailles et antiques

    Découvert en 1830 par un agriculteur normand qui labourait son champ, il provient d’un scanctuaire gallo-romain consacré à Mercure. Il contient des chefs-d’oeuvre de l’argenterie romaine et gallo-romaine datés du Ier au IIIe siècle offerts au dieu, pour un poids total de plus de 25 kg d’argent pur : deux statuettes de Mercure, un service à boire richement orné, coupes, phiales, gobelets, cuillères et autres éléments…

    Le trésor de Berthouville est à revoir dans le Cabinet des médailles de la Bibliothèque depuis juin 1830, et en constitue l’un des fleurons.

     

    Retrouver ce document dans le catalogue des médailles et antiques

    Précédent Suivant
    Fermer
  • Trône de Dagobert

    Trône de Dagobert, VIIIe-IXe s

    Trône du trésor de Saint-Denis, dit « Trône de Dagobert » – Fin du VIIIe-IXe siècle. Alliage cuivreux fondu et gravé, fer, restes de dorure – H. 104 cm, L. 82 cm
    BnF, département des Monnaies, médailles et antiques

    Depuis le Moyen Âge, cette chaire qui est l’une des pièces les plus emblématiques du Trésor de Saint-Denis, est connue sous l’appellation de « Trône de Dagobert », donnée dès le XIIe siècle par Suger, abbé de la nécropole royale. La facture est attribuée à saint Éloi (v. 588-659), orfèvre réputé, monnayeur, trésorier du roi Dagobert (629-639). Sa célébrité est due à la fois à cette attribution et à la rareté d’un tel élément de mobilier, connu uniquement par les manuscrits enluminés et les monnaies. Selon Suger, il servait de trône transportable aux rois de France pour recevoir l’hommage des grands du royaume.

    Utilisé jusqu’au XVIIe siècle, puis exposé dans le trésor au XVIIIe siècle, il est déposé à la Bibliothèque nationale en 1791. Il a été utilisé une dernière fois par Napoléon Ier lors de la remise des premiers insignes de la Légion d’honneur au camp de Boulogne, le 16 août 1804.

     

    Retrouver ce document dans Gallica

    Précédent Suivant
    Fermer
  • Bible de Théodulfe

    Bible de Théodulfe, IXe siècle

    Bible de Théodulfe – Orléans ou Fleury-sur-Loire (?), premier quart du IXe siècle
    BnF, département des Manuscrits – Latin 9380

    Appartenant à l’entourage lettré de Charlemagne, Théodulfe fut évêque d’Orléans de 798 au moins à 818, mais aussi abbé de la prestigieuse abbaye de Fleury-sur-Loire. Éminent théologien, il supervisa la copie de plusieurs bibles dont il révisa le texte dans le cadre de la vaste réforme biblique initiée par Charlemagne. Dans l’exemplaire qui fut peut-être destiné dès l’origine à la cathédrale d’Orléans figurent des cahiers pourprés (teints à partir de plantes), qui sont la marque des manuscrits les plus précieux.

     

    Retrouver ce document dans Gallica

    Précédent Suivant
    Fermer
  • Bois Protat

    Matrice pour la Crucifixion, dit « Bois Protat », vers 1400-1420

    Allemagne du Sud (?), vers 1400-1420 (Crucifixion) et vers 1430-1450 (Annonciation) Bois de noyer gravé en relief
    Département des Estampes et de la photographie

    Le « Bois Protat », appelé ainsi d’après Jules Protat, imprimeur qui l’acheta peu après sa découverte à la fin du XIXe siècle, est la plus ancienne matrice conservée de l’histoire de la gravure occidentale. Aujourd’hui amputée d’environ la moitié de sa largeur, la planche fut gravée sur ses deux faces, sans doute à quelques décennies d’intervalle. La gravure la plus ancienne est celle de la Crucifixion, dont subsiste presque l’intégralité de la partie senestre. Depuis sa découverte à la fin du XIXe siècle dans une maison privée des environs de Chalon-sur-Saône, le bois a suscité d’intenses débats auprès des historiens de l’estampe. Pour autant, l’incertitude demeure, tant pour sa datation que pour sa localisation. Récemment, la découverte d’un filigrane germanique sur deux épreuves du Christ devant Hérode conservées à Londres, une estampe souvent rapprochée du bois Protat pour ses caractéristiques stylistiques, pourrait corroborer l’hypothèse d’une aire de production de ce dernier en Allemagne du Sud. La destination de ce bois constitue une autre incertitude, dans la mesure où il reste difficile de savoir s’il a servi à une impression sur étoffe ou sur papier. Aucun tirage d’époque n’est en tout cas conservé. Peu de temps après sa découverte, la matrice fut reproduite en cliché typographique afin de procéder à des tirages modernes.

     

    Retrouver ce document dans Les Essentiels de la BnF

    Précédent Suivant
    Fermer
  • Biblia latina, dite Bible de Gutenberg

    Biblia latina, dite Bible de Gutenberg, vers 1455

    Biblia latina, dite Bible de Gutenberg (1394 ? - 1468) – Mayence, Johann Gutenberg et Johann Fust, vers 1455
    BnF, Réserve des livres rares – Vélins 70

    Premier grand livre imprimé en Occident au moyen de caractères mobiles, la Bible de Gutenberg a fait l’objet, parallèlement au tirage sur papier, d’un tirage de luxe sur peau de vélin, dont on ne connaît que quatre exemplaires complets. Celui de la BnF a été enluminé dans la région même de Mayence.

     

    Retrouver ce document dans Gallica

    Précédent Suivant
    Fermer
  • Heures à l’usage de Rome

    Heures à l’usage de Rome, dites Heures de Henri IV, vers 1500-1505

    Heures à l’usage de Rome, dites Heures de Henri IV – Paris, vers 1500-1505
    BnF, département des Manuscrits – Latin 1171

    Exécuté au XVIe siècle pour un commanditaire non identifié, ce livre d’heures étonne par son luxe. Les feuillets de texte sont intégralement couverts de feuille d’or, procédé rarement utilisé à une si grande échelle. Le manuscrit est en outre orné de soixante miniatures peintes en grisaille par le Maître des Triomphes de Pétrarque, un enlumineur dont l’identité demeure mystérieuse. Le volume fut offert par l’évêque de Paris Étienne Poncher au cardinal bibliophile Georges d’Amboise († 1510), archevêque de Rouen, qui le plaça dans la bibliothèque de son château de Gaillon. Il doit son nom à la reliure aux armes de Henri IV, confectionnée lors de son passage au cabinet du Louvre.

     

    Retrouver ce document dans Gallica

    Précédent Suivant
    Fermer
  • La Mélancolie

    La Mélancolie d’Albrecht Dürer, 1514

    La Mélancolie d’Albrecht Dürer (1471-1514) – 1514
    BnF, département des Estampes et de la photographie, RESERVE CA-4 (+, 5)-BOITE ECU

    Considérée comme l’une des estampes les plus célèbres de la Renaissance et des plus complexes du graveur allemand, cette allégorie qui représente la Mélancolie – une des quatre humeurs de la médecine antique – est souvent interprétée comme une représentation de l’artiste lui-même, en proie à la créativité et à la réflexion.

     

    Retrouver ce document dans Gallica

    Précédent Suivant
    Fermer
  • Leo Belgicus

    Leo Belgicus. Carte des 17 provinces des Pays-Bas sous la forme d’un lion, de Nicolas Joannis Visscher, 1630

    Leo Belgicus. Carte des 17 provinces des Pays-Bas sous la forme d’un lion, de Nicolas Joannis Visscher (155.-1612). Carte imprimée et rehaussée de couleurs  – Amsterdam, Claes Jans Visscher, 1630
    BnF, département des Cartes et plans, Ge DD 2987 (4216)

    Le Leo Belgicus représente les 17 provinces des Pays-Bas en lutte contre la monarchie espagnole sous la forme d’un lion, choisi pour sa force et sa bravoure. Plusieurs versions se sont succédées pendant plus de deux siècles, le lion étant tantôt figuré assis, redressé ou en marche. Dans la première version, en 1579, le lion vertical, une patte en l’air, est tourné vers la droite, les provinces du nord figurées dans la tête de l’animal. Dans cette deuxième version, conçue à Amsterdam vers 1608-1611, le lion est en marche, sa tête rugissante tournée vers le sud, d’où vient le danger. La représentation des Pays-Bas y est renversée : les 7 provinces du nord, unies depuis 1609, sont gravées dans l’arrière-train de l’animal, les 10 provinces méridionales, encore sous le joug espagnol, dans la tête et l’avant-train.

     

    Retrouver ce document dans Gallica

    Précédent Suivant
    Fermer
  • Panégyriques des saints

    Panégyriques des saints de Jean-François Senault, 1656

    Panégyriques des saints, de Jean-François Senault (1599-1672) – Paris, Pierre Le Petit, 1656. Reliure en tissu de lame argent et de filé riant argent, brodé de « tordesillas » (filé recouvert de soie polychrome), de filé couvert or et argent, de lame or. Tranches ciselées, dorées et peintes de fleurs
    BnF, Bibliothèque de l’Arsenal – Réserve 4-T-2590

    Revêtu d’une luxueuse reliure brodée selon une technique en usage dans les couvents espagnols, ce volume a été offert par la reine Anne d’Autriche à l’abbaye du Val-de-Grâce, qu’elle avait fondée et où son cœur fut enterré.

     

    Retrouver ce document dans Gallica

    Précédent Suivant
    Fermer
  • De l’Esprit des lois

    De l’Esprit des lois de Montesquieu, vers 1734-1748

    De l’Esprit des lois de Charles-Louis de Secondat de La Brède de Montesquieu (1689-1855) – Manuscrit mis au net avec corrections de l’auteur – Vers 1734-1748
    BnF, département des Manuscrits – NAF 12832

    Publié en 1748, condamné par l’Église en 1751, De l’Esprit des lois, œuvre maîtresse du philosophe Montesquieu, marque un tournant capital dans l’histoire des Lumières et fonde la science politique moderne, en théorisant notamment la séparation des trois pouvoirs, exécutif, législatif et judiciaire.

     

    Retrouver ce document dans Gallica

    Précédent Suivant
    Fermer
  • Don Giovanni

    Don Giovanni de Wolfgang Amadeus Mozart,1787

    Don Giovanni de Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) – Manuscrit autographe – Prague, 1787
    BnF, département de la Musique, MS-1548 (2)

    Remis par Constance Mozart à l’éditeur de celui-ci, ce manuscrit insigne fut acquis à grand prix par la cantatrice Pauline Viardot (1821-1910). Elle le céda au Conservatoire de musique de Paris, dont la bibliothèque a été transférée en 1935 à l’actuelle BnF. On voit ici le fameux air dit du catalogue, où Leporello lit à donna Elvire l’inventaire des conquêtes du séducteur (« Madamina, il catalogo è questo » / « Très chère dame, voici la liste… »).

     

    Retrouver ce document dans Gallica

    Précédent Suivant
    Fermer
  • Les Misérables

    Les Misérables, t. I, de Victor Hugo, 1845-1862

    Les Misérables, t. I, de Victor Hugo (1802-1885) – Manuscrit autographe – 1845-1862
    BnF, département des Manuscrits – NAF 13379

    Roman d’une vie et d’un siècle, Les Misérables ont assuré la gloire internationale de Victor Hugo. La création de l’ouvrage est en elle-même un roman dont témoigne le monumental manuscrit en deux tomes. Commencée en 1845 et interrompue par la révolution de 1848, la rédaction ne reprit qu’en 1860 : Hugo retravailla amplement le texte déjà écrit, avant d’ajouter les derniers chapitres.

     

    Retrouver ce document dans Gallica

    Précédent Suivant
    Fermer
  • Affiche publicitaire pour Job

    Affiche publicitaire pour Job, d’Alphonse Mucha, 1897

    Affiche publicitaire pour Job, d’Alphonse Mucha (1860-1939) – 1897 – Lithographie en couleurs
    BnF, département des Estampes et de la photographie, ENT DN-1 (MUCHA, Alphonse /7)-ROUL

    Alphonse Mucha (1860-1939) réalise ses premières affiches à partir de 1895 pour l’annonce des pièces de théâtre de la grande comédienne Sarah Bernhardt. Il introduit un parti pris ornemental, des lignes sinueuses, une richesse décorative qui sont caractéristiques de l’Art Nouveau. L’affiche pour le papier à cigarette Job relève de cette esthétique avec notamment le traitement de la chevelure en arabesques. Mucha s’empare du symbole graphique de la marque « Job » qui devient un élément décoratif pour le fond et une délicate broche sur la robe du personnage féminin.

     

    Retrouver ce document dans Gallica

    Précédent Suivant
    Fermer
  • Robe noire portée par Édith Piaf

    Robe noire, de Jacques Heim, portée par Édith Piaf, vers 1960

    Robe noire, de Jacques Heim (1899-1967), portée par Édith Piaf – Vers 1960
    BnF, département des Arts du spectacle, COS-2008/0355/01

    Dès ses débuts en 1935, Édith Piaf porte une « petite robe noire », costume de scène habituel des chanteuses réalistes et vêtement féminin populaire. Elle en fait l’emblème de son art et le cadre dans lequel s’inscrit sa voix. Par la suite, ses robes de facture modeste sont remplacées par des créations haute couture, comme celle présentée ici, griffée Jacques Heim et portée lors de ses derniers concerts à l’Olympia.

    Précédent Suivant
    Fermer

Europes en partage  : thématique annuelle du musée de la BnF

À partir du 12 septembre 2025, la présentation annuelle de la galerie Mazarin offre un nouveau florilège de ses collections, consacré à quelques grands moments qui ont fait l’Europe, du IXe siècle à nos jours.

En quelque 150 œuvres et documents, s’y déploie une vision culturelle de la France inscrite dans son contexte européen, faite de circulations de personnalités, de diffusions des idées, d’échanges de savoirs et de convergences de goût qui ignorent les frontières.

Une pluralité d’Europes, maillées les unes aux autres, se dessine alors autour des ateliers d’enluminure, de l’imprimerie, de la figure de l’artiste, de l’engouement pour les jardins et les fleurs, des spectacles théâtraux, des concepts philosophiques, de la question sociale et des avancées scientifiques, témoignant d’une culture partagée au sein d’un horizon commun. Pour des raisons de conservation, la présentation est renouvelée en janvier et en mai 2026.

 

Télécharger le communiqué de presse

Informations pratiques

Horaires

Le mardi (nocturne) : 10 h - 20 h

Du mercredi au dimanche : 10 h - 18 h

Fermé le lundi et certains jours fériés*
Le musée est ouvert les 8 mai, jeudi de l’Ascension, 1er et 11 novembre.
* Le musée est fermé les 1er janvier, lundi de Pâques, 1er mai, lundi de Pentecôte, 14 juillet, 15 août et 25 décembre

À noter : en raison de la fragilité de certaines œuvres, une partie des pièces exposées dans la galerie Mazarin et la Rotonde est renouvelée tous les quatre mois, ceci donnant ainsi à voir l’étendue des collections de la BnF. Ces opérations nécessitent par conséquent de fermer ces espaces au public.

Dates de fermeture de la galerie Mazarin : du lundi 1er au jeudi 11 septembre 2025 inclus et du lundi 12 au jeudi 22 janvier 2026 inclus.

Dates de fermeture de la Rotonde : du lundi 6 au vendredi 10 octobre 2025 inclus et du lundi 23 mars au vendredi 3 avril 2026 inclus.

Accès

Site Richelieu
5, rue Vivienne
75002 PARIS

 

Activités en groupe

Réservation obligatoire à visites@bnf.fr ou au 01 53 79 49 49 (du lundi au samedi, de 9 h à 17 h)

Tarifs

Tarif plein :
Tarif plein - billet couplé avec une exposition :
Tarif réduit - billet couplé avec une exposition :
Gratuit avec :
Gratuit avec :

 

Durant la période de fermeture de la galerie Mazarin, les billets individuels sont disponibles uniquement en caisses et les tarifs d’accès au musée sont diminués à 7 € (plein tarif), 5 € (tarif réduit), 10 € (tarif couplé avec une exposition) et 7 € (tarif réduit couplé avec une exposition).

 

Visite guidée du musée de la BnF – Réservation