Écrire pour le cinéma : conférence du 1er mars 2017
1 mar. 2017 Durée : 70 min
Comment écrire pour le cinéma ? S’il s’agit toujours de raconter des histoires, l’écriture d’un scénario ne s’envisage pas comme celle d’un roman car, dès le départ « l’image animée » et la bande-son à venir en sont des éléments constitutifs. C’est ce passage du sujet au synopsis, du traitement à la continuité dialoguée, puis au découpage technique voire au story-board, que dévoileront scénaristes et cinéastes. Ceux-ci deviennent, par ces truchements successifs, les auteurs d’un film. Peut-on écrire à plusieurs ? Comment scénaristes, réalisateurs et producteurs dialoguent-ils ensemble ? Y a-t-il une « nouvelle écriture » du scénario au tournage, puis au montage ? Ces questions précieuses pour les étudiants en cinéma, mais tout aussi passionnantes pour le public et les cinéphiles sont au cœur de ce nouveau cycle.
Animée par N. T. Binh et les étudiants du Master pro scénario, réalisation, production de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
Réalisatrice de Petits Arrangements avec les morts,L’Âge des possibles, Lady Chatterley, Bird People, et scénariste pour Arnaud Desplechin, Mathieu Amalric, Michael Dudok de Wit, etc.
Comment écrire pour le cinéma ? S’il s’agit toujours de raconter des histoires, l’écriture d’un scénario ne s’envisage pas comme celle d’un roman car, dès le départ « l’image animée » et la bande-son à venir en sont des éléments constitutifs. C’est ce passage du sujet au synopsis, du traitement à la continuité dialoguée, puis au découpage technique voire au story-board, que dévoileront scénaristes et cinéastes. Ceux-ci deviennent, par ces truchements successifs, les auteurs d’un film. Peut-on écrire à plusieurs ? Comment scénaristes, réalisateurs et producteurs dialoguent-ils ensemble ? Y a-t-il une « nouvelle écriture » du scénario au tournage, puis au montage ? Ces questions précieuses pour les étudiants en cinéma, mais tout aussi passionnantes pour le public et les cinéphiles sont au cœur de ce nouveau cycle.
Animée par N. T. Binh et les étudiants du Master pro scénario, réalisation, production de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
En partenariat avec l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.