Pour la reprise de 1866, l’Opéra de Paris fit appel à de nouveaux décorateurs qui durent se conformer au livret qu’Émile Deschamps et Castil-Blaze avaient proposé en 1834. Sur fond de vengeance céleste, le drame s’achevait de façon édifiante, avec la chute de Don Juan et le chœur de damnés mêlé aux cris forcenés du libertin.
Pour la reprise de 1866, l’Opéra de Paris fit appel à de nouveaux décorateurs qui durent se conformer au livret qu’Émile Deschamps et Castil-Blaze avaient proposé en 1834. Sur fond de vengeance céleste, le drame s’achevait de façon édifiante, avec la chute de Don Juan et le chœur de damnés mêlé aux cris forcenés du libertin.