Lettre du CCFr nº50 (juin 2025)
Actualités de la Base patrimoine
Un petit Tour de France avec le CCFr ? c’est parti !
Avec des étapes majeures en bibliothèques municipales.
À Angers, la Médiathèque Toussaint a entrepris un travail de mise à jour et d’enrichissement dans la Base patrimoine avec l’apport de nombreux fonds.
Plus de 112 000 notices ont été révisées incluant les incunables, usuels, fonds ancien, d’Anjou et patrimoniaux Jeunesse avec l’ajout de l’important fonds général de cet établissement classé conservant le Dépôt légal des imprimeurs de la région Pays de la Loire.
De nombreux livres d’artistes et du domaine de la reliure d’art, se trouvent valorisés par ce versement angevin.
Outre la collection Gaspard de la nuit comprenant l’ensemble des éditions illustrées et études sur l’œuvre d’Aloysius Bertrand (1807-1841), on y retrouve le fonds Jean-Pierre Geay (1941-), poète et historien de l’art, ceux des peintres et graveurs Bernard Alligand (1953-) et Julius Baltazar (1949-) avec l’ensemble des collections de bibliophilie contemporaine de l’établissement, à tous titres, remarquables.
Plusieurs fonds particuliers et spécialisés ont également été versés.
Les fonds Jules Mougin (1912-2010), poète et facteur des PTT, celui de Louis Germain (1878-1942), malacologue et directeur du Museum national d’Histoire naturelle de Paris de 1936 à 1942, le legs René Riobé avec 2 000 volumes sur la vie musicale en France entre 1850 et 1960, composent, en partie, ce vaste ensemble bibliographique.
Autres fonds remarquables
Les bibliothèques de travail de François Avril (1938-) ancien conservateur de la Bibliothèque nationale, reconnu comme l’un des meilleurs historiens mondiaux des manuscrits médiévaux, celle de Jacques Mallet (1922-2011) qui fut archéologue et historien d’art, et celle, familiale, extrêmement documentée, présentée ici, du Docteur Hébert de la Rousselière (1887-1979).
L’actualité de la Médiathèque Toussaint, c’est avant tout un déménagement d’une durée de 3 ans dans le cadre de sa rénovation et de son extension.
Cependant, le service patrimonial et ses collections resteront accessibles sous certaines conditions. Se renseigner ici.
À Lille, la médiathèque municipale Jean Lévy, classée, a entrepris, elle aussi, avec un apport supplémentaire notable, la révision de plus de 110 000 notices bibliographiques de ses fonds patrimonial, local et régional ainsi que ses plus de 300 incunables.
À Calais, la médiathèque Louis Aragon ajoute au CCFr les données de son fonds Camys et des archives sur la franc-maçonnerie.
À Saintes, la médiathèque François-Mitterrand livre la riche bibliothèque personnelle de Ferdinand Faucher de la Ligerie (1847-1907) qui comporte des éditions rares et des reliures remarquables.
Détours patrimoniaux avec diverses institutions
En Dordogne, aux Archives Départementales pour l’entrée du fonds local et du fonds Beaumont-Beynac conservés à la bibliothèque
À Marseille, au Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (Mucem), avec le Centre de Conservation et de Ressources (CCR). Ce dernier a été créé en juin 1937 lors de l’ouverture du Musée des Arts et Traditions Populaires (MNATP) à Paris.
De par son histoire, l’établissement nous offre un ensemble bibliographique passionnant concernant plusieurs fonds particuliers complètement inédits pour la Base patrimoine évoquant :
- la vie et l’histoire de l’émir Abd-El-Kader (1808-1883) (fonds Christian Delorme),
- le Maroc, la Tunisie, la Mauritanie et l’Indochine (bibliothèque de Jacques Gandini et de sa femme Alice),
- l’horlogerie, les automates et la musique mécanique (fonds Olivier Roux),
- le cirque et le music-hall (fonds Lucien-René Dauven), l’étude du monde berbère (fonds Camps),
- ou encore, le conte populaire en France (fonds Paul Delarue).
Les impressions populaires, quant à elles, dont les références sont désormais consultables sur le CCFr, constituent l’une des plus importantes collections de littérature de colportage, avec la Bibliothèque bleue de la médiathèque Jacques-Chirac à Troyes, les Almanachs de la BnF sans oublier les titres de la Librairie Chalopin de la bibliothèque Alexis de Tocqueville à Caen.
La collection, fleuron du CCR, a été constituée par dons et achats successifs de 1938 à 1989. Ces livrets, édités du 17 au 19ème siècle, sont en général de petite taille avec une mise en page serrée, des paragraphes brefs et une iconographie assez pauvre. Ils étaient vendus à petit prix en ville mais aussi dans les villages par des colporteurs.
Manuscrits et archives (CGM)
Focus sur plusieurs inventaires publiés dans le Catalogue général des manuscrits (CGM).
L’inventaire du fonds Francis Jammes (1868-1938), poète et romancier béarnais, à la médiathèque Jean-Louis-Curtis (réseau Pôle Lecture de Lacq-Orthez).
Plusieurs centaines de manuscrits littéraires, prose et poésie, sont conservés à Orthez, ville où le poète vécu assez longtemps.
Ce fonds est alimenté en partenariat avec l’Association Francis Jammes, membre de la Fédération nationale des maisons d’écrivain et des patrimoines littéraires. Il est également lié aux ressources de la bibliothèque patrimoniale de Pau. Le tout, archives, œuvres manuscrites, correspondances, documents iconographiques a été numérisé sur Pireneas, la bibliothèque numérique des ressources pyrénéennes (du dispositif «Gallica marque blanche). Une exposition virtuelle très complète « Francis Jammes, poète » y est offerte avec l’appui d’articles et d’études commentées.
L’inventaire du fonds Suzanne Briet, à la médiathèque Voyelles de la communauté d’agglomération Ardenne Métropole, à Charleville-Mézières.
Cousine de l’écrivain André Dhôtel, Suzanne Briet (1894-198), fut une pionnière en France des sciences de l’information et de la communication. C’est l’une des trois premières femmes bibliothécaires de profession à accéder à la Bibliothèque nationale (BN) où elle crée la salle des catalogues et bibliographies qu’elle gère de 1943 à 1954. Elle y développe également un service de questions-réponses pour les lecteurs de la BN de l’époque.
Reine du principe de l’indexation, qu’elle étendra à toutes les formes de documents, elle sera nommée en 1950, directrice des études de l’Institut national des techniques de la documentation.
Elle se consacre ensuite à de nombreuses études sur sa région d’origine, les Ardennes, en œuvrant pour l’association des Amis d’Arthur Rimbaud et l’Union des Femmes européennes.
L’inventaire de ses archives est le reflet de ses multiples activités tant professionnelles qu’associatives.
L’inventaire des dossiers photographiques d’Elsa Triolet et de Louis Aragon à la bibliothèque de leur Maison à Saint-Arnoult-en-Yvelines.
Cette publication fait suite à un important travail de signalement après le versement des notices bibliographiques de leur bibliothèque personnelle en 2024 dans la Base patrimoine (voir la Lettre du CCFr n° 47). La même année, en octobre, les eaux de la Rémarde voisine ont inondé le Moulin de Villeneuve, décor et source d’inspiration des écrits du couple où sont conservées toutes les archives.
Mais en 2025, place à une réouverture réussie et une valorisation maximale des collections !
L’inventaire de 61 dossiers concernant Claire Nadaud (1944- ) l’autrice-illustratrice spécialisée dans l’édition Jeunesse, conservés à la bibliothèque d’Agglomération Albert-Legendre, à Laval.
Composé de calques, de dessins originaux, d’épreuves et d’archives, ce fonds, qui reste ouvert, a été légué en 2023 par l’artiste, résidente de longue date en Mayenne.
Le CCFr a rencontré…
Ce spécialiste de l’Opéra baroque français aux 17 et 18ème siècle est docteur en musicologie. En mars dernier, dans le cadre du programme PMR, il a publié en collaboration avec son collègue Marco Gurrieri, le Tome III du Catalogue des fonds musicaux anciens conservés dans les Pays de la Loire, aux Editions Classiques Garnier.
Soutenue par le ministère de la Culture, la recension du patrimoine musical français a débuté en 1987 avec l’inventaire et le catalogage du patrimoine musical noté, partitions manuscrites et imprimées. S’y ajoutent certaines sources annexes comme les livrets ou parties séparées tels le matériel d’orchestre ou les méthodes instrumentales.
Le périmètre chronologique, celui du Répertoire International des Sources Musicales (RISM), inclut les œuvres de compositeurs nés avant 1770 et pour les anonymes, les œuvres antérieures à 1840. Si les sources présentent un intérêt notable ou par cohérence du fonds, ces limites peuvent être dépassées.
En 2009, après une longue phase de préparation et d’analyse, les catalogues publiés qui font suite à ce travail, ont fait l’objet d’une conversion rétrospective pilotée par la BnF avec son département de la Coopération pour la partie opérationnelle et, supervisée par son département de la Musique pour la coordination scientifique.
Les notices obtenues sont consultables sur la Base patrimoine du CCFr par l’interface spécifique catalogue Sources musicales avec des notices de la BnF. Une passerelle vers le Répertoire les localise immédiatement. Des incipit musicaux y sont numérisés.
À l’automne 2020, le projet PMR a été confié à l’IReMus pour en assurer la direction scientifique conjointement avec la BnF avec quatre objectifs principaux : recenser, étudier, diffuser et faire connaitre les sources musicales anciennes des régions de France pour en permettre l’accès au plus large public.
Mes tâches en tant qu’expert-musicologue : localiser les fonds puis me rendre sur place pour un tout premier travail parfois fastidieux de remise en ordre, recherches de provenances et inventaire des archives. Je sélectionne ensuite ce qui est visé par le programme excluant entre autres, le chant monodique ou les documents hors période, me servant de l’existant, un livret de partitions incomplet par exemple. Je peux lancer certaines enquêtes approfondies à partir d’une simple feuille volante pour l’intégrer à l’œuvre globale ou recoter des collections déplacées suite à des aléas historiques. Le cotage d’éditeur, en bas de partition, pour les pièces imprimées livrera des pistes sérieuses. Je cherche ce qui est mentionné dans la presse de l’époque, fais resurgir, fouille par strates, photographie, avant de me lancer dans un catalogage pièce en main qui sera loin d’être ordinaire. Toutes les caractéristiques du document sont retranscrites quasi « à l’ancienne » sur un simple document Word.
Seront reportés, avec souci de visibilité, les intitulés, collations, défauts de pagination ou de dimension, mention de reliures, marques d’anciens possesseurs, de catalogue éditeur, d’annotations ou de filigranes. La recherche de la datation est fréquente car la date est souvent absente : pratique usuelle de l’éditeur pour simuler une nouveauté. S’ensuivent des identifications et comparaisons de référencements au Département de la Musique, au RISM, avec vérifications dans des bibliographies existantes. Le tout sera présenté dans l’ordre alphabétique d’auteurs avec une remise en contexte historique complète enrichie d’un appareil critique (notes et commentaires).
L’aboutissement de ce traitement très spécifique du document, en marge des pratiques courantes, est sa publication papier.
La rétroconversion des notices et, in fine, leur consultation sur le CCFr leur apporte ensuite une dimension nouvelle avec leurs évolutions éventuelles et changements d’affectations. Ces phases successives, sur plusieurs années, pour l’obtention d’un corpus identifié et interrogeable, se révèlent indispensables.
Ce catalogage « à la dentelle » est exploité sous de multiples formes : les notices en UNIMARC du CCFr peuvent être récupérées par chaque établissement qui le souhaite. Ce seront les mêmes bibliothèques qui feront l’acquisition du volume papier pour le mettre à disposition de leur lectorat. Une large prise de conscience des professionnels sur la précieuse plus-value de leurs fonds musicaux a pu se produire qu’ils soient conservés dans des musées, des conservatoires ou des théâtres.
Le programme a permis de réelles amorces dans le domaine de la recherche musicale. Les catalogues publiés permettent de redécouvrir des musiques que l’on croyait perdues, des éditions, partitions et matériels d’orchestre annotés très rares.
Un très récent colloque international intitulé « Aux sources de la vie musicale et théâtrale à Nantes aux 18ème et 19ème siècles » a été organisé par l’IReMus suite à la dernière édition nantaise. Un nouvel éclairage sur les institutions productrices de musique et de spectacles, sur les lieux et les salles ainsi que sur les publics y a été apporté ainsi que des informations inédites sur la circulation des troupes et des interprètes en France. Grâce aux recensements effectués, la musique dans le cadre privé, est également abordée avec l’étude des collections d’anciens possesseurs, des partitions ou de pratiques de jeu particulières.
Plusieurs fonds musicaux d’importance restent à traiter ou sont en cours comme le catalogue du grand Théâtre de Bordeaux. Des lacunes régionales subsistent mais seront comblées : la Vendée, le Limousin, une partie de l’Ile-de-France, Aquitaine, Midi-Pyrénées ou Provence-Alpes-Côte d’Azur.
Malgré les difficultés, je me réjouis que le projet global avance.
Depuis 1989, 40 catalogues imprimés ont été publiés dans 20 régions françaises. Et, le partenariat du CCFr dynamise l’offre avec, à ce jour, plus de 40 000 notices bibliographiques en ligne pour près de 200 établissements !
Diversité des fonds musicaux à Nantes décrits dans le Tome III Catalogue des fonds musicaux anciens des Pays de la Loire :
- Archives diocésaines de Nantes
- Médiathèque Jacques Demy (partitions manuscrites) avec le fonds Pierre-Antoine Labouchère
- Archives municipales de Nantes
- Bibliothèque du Musée Dobrée
IReMus : site de l’Institut de Recherche en Musicologie
RISM : site du Répertoire International des Sources Musicales
Pascal Denécheau : liste des publications et travaux
Patrimoine musical régional : liste des catalogues publiés
Actualités des partenaires du CCFr
Nous adressons à Véronique Falconnet tous nos vœux pour une retraite paisible et bien méritée !
Conservatrice générale, elle a été responsable du service CCFr à partir de 2004. Elle a suivi de très près les évolutions et les aventures du Catalogue collectif de France, bel outil devenu incontournable dans le monde des bibliothèques et de la recherche, comme elle a veillé avec sollicitude sur la naissance et l’essor de l’outil TapIR.
Un grand merci pour toutes les années écoulées à la BnF où elle a donné son maximum tant aux usagers du Catalogue collectif de France qu’à ses équipes, avec beaucoup d’investissement, de passion, d’humanité et de professionnalisme.
Toute l’équipe du CCFr est prête à poursuivre les nombreux chantiers lancés, avec le même esprit et le même enthousiasme.
La cartographie CollEX-Persée : plus de 1 800 fonds à découvrir sur le CCFr grâce l’outil de publication TapIR.
À Châlons-en-Champagne, le centre de ressource et de recherche du CNAC (Centre national des Arts du cirque), est labellisé CollEX, Collections d’Excellence, depuis 2021 pour ses fonds spécifiques autour du cirque et de la magie.
La partie « Cirque » est riche de plus de 35 000 documents : affiches, programmes, photographies, archives patrimoniales, ouvrages et revues spécialisées multilingues avec un fonds unique de captations de spectacles de cirque contemporain.
La partie « Illusion » comprend plus de 900 ouvrages de référence, des affiches et des revues sur la magie.
- Le fonds Tristan Rémy (1897-1977), historiographe du cirque, avec 250 boîtes thématiques
- Le fonds Jean Gayno composé de plus de 2 700 pièces photographiques d’artistes de cirque actifs entre 1950 et 1970
- Les archives personnelles de l’acrobate aérien Théo Grassi (1871-1955) qui se produisit en solo, en duo et en groupe, notamment avec les Cotinar’s, les Krags, les cinq Alex et les Montbar entre 1897 et 1932.
- En cours de publication, les fonds Pierre-Henry Lévy, Jacques Richard (1931-2018) avec 90 affiches numérisées en ligne, et le fonds Ali Héritier (1896-1986) avec 117 photographies d’artistes.
Le Centre de ressources et de recherche du CNAC est une médiathèque de référence sur les arts du cirque, ouverte aux spécialistes comme au grand public. Elle offre un accès en ligne privilégié pour un grand nombre de documents avec la plateforme CIRCODOTA.
Retour sur la journée d’information et d’échange « Le patrimoine écrit des langues régionales : signaler, numériser, transmettre », du 4 juin dernier à la BnF (site François-Mitterrand) et en streaming live.
Organisée par le département de la Coopération (BnF) et en partenariat avec la Délégation générale à la langue française et aux langues de France (DGLFLF), cette journée a été l’occasion de présenter les chantiers et les projets portant sur le signalement, la numérisation et la transmission du patrimoine écrit en faveur des langues et des cultures régionales.
L’attention des politiques documentaires nationales par rapport aux langues régionales, quoique réelle, est demeurée longtemps diffuse et souvent peu visible. Sur bien des territoires cependant d’importantes collections imprimées ont été constituées en ligne, notamment sur Gallica, la bibliothèque numérique de la BnF et de ses partenaires.
Lors de cette rencontre, de riches débats ont eu lieu autour de la connaissance et du catalogage des collections publiques, de la sélection et de la mise en ligne libre et gratuite des ressources, mais aussi de la médiation de ces ressources, notamment en direction des acteurs qui s’y investissent au sein des offices, instituts, observatoires et associations dédiés.
- Le fonds basque de la médiathèque de Bayonne
- Le fonds Fernand Carton consacré au patois picard de la médiathèque André-Malraux de Tourcoing
- Le fonds breton de la médiathèque Les Capucins de Brest
- Le Fonds Felix Quelici : Enregistrements de collectage réalisés en Corse par Felix Quilici en 1961 et 1963. Musique et poésie de tradition orale corse. Département de l’Audiovisuel, BnF.
TapIR… et vous
Formation TapIR - Les dates !
La prochaine session 2025 pour la publication en EAD d’inventaires de fonds d’archives et de manuscrits dans le Catalogue général des manuscrits (CGM) du CCFr est proposée, selon la formule établie suivante :
- Mardi 4 novembre 2025 : webinaire de présentation générale du CCFr qui fait partie intégrante du parcours.
- Mardi 18 novembre 2025 : webinaire préliminaire à l’atelier TapIR.
- Jeudi 27 et vendredi 28 novembre 2025 : atelier TapIR sur place, à la BnF - site François-Mitterrand.
Voir les pré-requis, programme, informations et contact pour inscription sur la page « Formation » du site bnf.fr.
Question/réponse sur le CCFr
Question : Comment le Répertoire de Bibliothèques est-il mis à jour ?
Le Répertoire de Bibliothèques est un outil collaboratif. Les professionnels peuvent obtenir un accès avec identifiant et mot de passe pour mettre à jour les informations pratiques concernant la notice de leur bibliothèque. Pour toutes autres informations à corriger, les signaler à repertoireccfr@bnf.fr.
Toutes les notices descriptives d’établissements relevant de l’Enseignement Supérieur sont actualisées par un export de données mensuel en provenance du Répertoire du SUDOC, catalogue du Système Universitaire de Documentation où elles sont, au préalable, révisées.
Le Répertoire de Bibliothèques référence actuellement plus de 5 160 établissements publics de tous types, bibliothèques municipales, intercommunales, départementales, établissements de la sphère universitaire et du domaine de la Recherche, bibliothèques et centres de documentation spécialisés, d’associations diverses, cultuelles, de musées et archives municipales et départementales.
L’ensemble du territoire français est couvert, que ce soit en métropole mais aussi Outre-mer et même à l’étranger au travers des instituts français.
Toutes les institutions du Répertoire ont en commun le fait d’être ouvertes au public, même à minima sur rendez-vous.
Pour obtenir la publication d’une notice descriptive, il suffit de nous renvoyer ce bordereau rempli. La bibliothèque obtiendra par la suite un numéro d’identification national et la publication de sa description.
- Les données du Répertoire sont placées sous Licence Ouverte.
Elles sont donc réutilisables librement et gratuitement sous réserve d’en mentionner la source.
Les plateformes de données ouvertes auxquelles le CCFr contribue sont à retrouver sur le site api.bnf.fr, ainsi que sur data.gouv.fr et sur le site du ministère de la Culture.
Aucune liste de mails de bibliothèques ne sera délivrée.
Pour être au plus près des besoins de ses utilisateurs, le CCFr déploie et diversifie son offre de formation et de présentation de ses outils spécifiques. Ainsi, des vidéos d’information générale et des vidéos de formation ont été réalisées.