Photographie
Alexandre de Humboldt en 1803 au Mexique à l’âge de 34 ans : Warren’s Portraits, photographie sur plaque de verre de la Société de Géographie.
Retrouver cette photographie DANS Gallica
Carte
Amérique réduite d’après celle d’Arrowsmith : par J.-N. Champion ; et soumise aux observations de M. de Humboldt. 1813
Retrouver cette carte DANS Gallica
Illustration / plan
Illustrations de Voyage de Humboldt et Bonpland : Atlas géographique et physique du nouveau continent. Nicolas-Marie Ozanne (1728-1811), graveur. Alexander von Humboldt (1814-1834), auteur.
Retrouver cette illustration DANS Gallica
Illustration / tableau physique
Géographie des plantes équinoxiales : tableau physique des Andes et pays voisins dressé d’après des observations et des mesures prises sur les lieux depuis le 10e degré de latitude boréale. Par Alexandre de Humboldt et Aimé Bonpland ; esquissé et rédigé par Humboldt, dessiné par Schönberger et Turpin.
Retrouver ce document DANS Gallica
Illustration / monographie imprimée
Paysage du Vénézuela : Illustration extraite de l’oeuvre de Alexandre de Humboldt. 3, I, Tableaux de la nature. Traduction par Charles Galuski ; Préface par Charles Minguet
Retrouver ceT ouvrage DANS Gallica
14 aoû. 2019
Alexandre de Humboldt (1769-1859) est à la fois naturaliste, géographe et explorateur. Ses premiers travaux le mènent vers la zoologie, mais surtout la botanique. Sa première œuvre de géographe, l’Essai sur la géographie des plantes (1805) naît de ses recherches en botanique. Il commence à s’interroger sur les phénomènes de localisation, de répartition et de déplacement des espèces.
Grand voyageur, il se lance dans de longues expéditions naturalistes. Ainsi, il parcourt entre 1799 et 1804, en compagnie du botaniste Aimé Bonpland, les Amériques et les Antilles. Il explore également une grande partie de l’Europe et de l’Asie. En 1829, il découvre l’empire russe. Il n’aura de cesse de comparer, de connecter les lieux avec les phénomènes qu’il étudie. Il écrit dans Cosmos : essai d’une description physique du monde (1855-1859) : « Dans chaque époque, il y a des esprits faibles disposés à croire complaisamment que l’humanité est arrivée à l’apogée de son développement intellectuel. Ils oublient que, par l’effet de la liaison intime qui unit tous les phénomènes de la nature, le champ s’élargit et mesura que l’on avance, et que la limite qui le borde l’horizon recule incessamment devant l’observateur » [Citation].